Poèmes en tout genres.

Aujourd'hui je me promène,
Dans de grandes rues qui me mènent,
Là ou l'Soleil brille le jour,
Et la nut s'fait senti l'Amour.

Tout c'monde passe à côté d'moi,
Pas un seul d'eux ne me voit,
Ils s'amassent et ils se poussent,
Vers cette fumée qu'on voit tous.

Ils s'écrient, ils s'en affolent,
Devant ce grand amas de tôles,
Quand on s'approche, on apperçoit,
Un bout de corps qui ne bouge pas.

Je marche vers lui, je n'touche personne,
Un ange survient à petit pas,
Y m'dit doucement que mon heure sonne,
Ce corps fumant était à moi...

Pas franchement gai celui là...

L'esprit perdu dans les nuages,
Le vent fuyant sur mon visage,
Je croise Erhynn de mon regard,
Elle est si belle, je n'ose y croire.

Seulement voilà, elle ne sait pas,
Que je suis bien mieux qu'Ena,
Moi, Sagat, le beau soigneur,
Qui soigne les gens avec mon coeur.

Je ne demande pas l'impossible,
Mais juste de devenir la cible,
Des ses railleries, de ses affronts,
Juste qu'elle me montre de l'attention.

Certains diront en lisant ça,
Que mon coeur pour elle seule bat,
Je leur réponds: "Mesdames, Messieurs,
Ne vous fiez pas juste à vos yeux..."


:mrgreen: 6h du mat', toujours en forme! :mrgreen:
Et toujours

J'ai vu bon nombre de demoiselles,
Mais aucune n'est aussi belle.
J'ai vu bon nombre de jeunes filles,
Mais aucune aussi gentille.
J'ai vu bon nombre de gentes Dames,
Mais aucune n'a autant d'Ame.

J'ai vu bon nombre de personnes,
Mais aucune comme elle m'étonne,
J'ai vu bon nombre d'individus,
Mais aucun d'eux n'a pu, n'a su,
M'apporter autant qu'elle,
Elle me fait pousser des ailes.

Elle zozotte bien malgré elle,
Elle est jolie, marrante et fine,
J'en parle avec beaucoup de zèle,
De la charmante petite Erhynn.

Chose promise, chose dûe. V'là ton poème. :mrgreen:

Le Soleil, des Nuages, dans le Ciel on peut voir,
Un Sourire, un Visage, au début d'cette Histoire.

Au Réveil, je la vois, endormie, si jolie,
Inondant cet endroit, tel la Lune à Minuit.
Elle se lève, lentement, gracieuse et rafinée.
Paresseuse forcément, la Soirée ayant durer.

Je me lasse du Miroir, dessinant mon Reflet,
Alors que je peux voir, resplendir sa Beauté.
Elle m'envoûte de ses Dires, me souriant, Virginale,
D'une Parole elle m'attire, ne sais pas qu'ça fait Mal.

Vient le Soir, au Coucher, elle s'allonge dans les Draps,
J'aimerais tant la toucher, partager cette Nuit là.
Tout du moins j'en rêvais, car ça n'est pas possible,
Je suis un Etranger, pour ses Yeux, invisible.

Elle est tendre mais féline,
Ce bout d'fille s'apellant Erhynn.

Et encore un! :mrgreen: Mais tout les matins, je sais pas... on verra.

Tenez, ça faisait longtemps. (Basé sur le jeu des mots avec Rsir)

La petite Ithryn.

Il y a une tente, etreinte et hantée,
En elle, un être pâle et tenté,
Rentre l'air terni, applatit par la pitié,
Planté là, il a tant piétiné.

Il traîne la patte, niant la réalité,
L'être riant, le traite en pitié,
Il a péri, tel le prêtre n'étant rien,
Une perte ne l'a tant atteint.

Elle nie le lien, la petite Ithryn,
Il lit ton teint petite Erhynn,
En le niant, il a hérité,
Et en priant, il t'a parlé.

Pfiouu... dûr tout ça. Faut que je repose mon 'ti cerveau maintenant...