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 Ode à la féminité

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Misandre
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Misandre


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MessageSujet: Ode à la féminité   Ode à la féminité EmptyDim 17 Sep - 17:19

La journée avait été long et s’est avec un ravissement partagé qu’Aenoria et Pandora s’étaient retrouvée dans la même chambre.

Je suis ravie de voir que nous partageons la même chambre
Veux tu partager mon lit? Sans culotte tu dois avoir bien froid


Il est vrai que je n'ai pas spécialement très chaud aux fesses ces temps ci.
Je ne suis pas contre un peu de chaleur humaine même si malheureusement je pense que le tenancier ne nous fera même pas une petite ristourne


C’est vrai qui n’est pas très gentil, il n'a même pas chauffé les chambres
*ouvre les draps et tend ses bras pour proposer un tendre câlin dès plus chaleureux*
viens que je te réchauffe tes petits petons


Merci c'est tellement gentil à toi de bien vouloir me réchauffer un peu
*se glisse sous les draps et dans les bras de Pandora*
oh mais t'as pas chaud non plus on dirait.


Non hélasse ces souterrains sont d'un froid humide parfait pour choper la mort. La chaleur humaine y est totalement absente et il y est dur de vivre sans ressentir de meurtrissure au fond de son coeur
Et toi ma jolie petite elfe n'as tu pas peur de t'éteindre dans ces lieux obscures?


Je combats mes peurs chaque jour et puis je me dis que d'ici peu je pourrais enfin quitter ces affreux souterrains et revoir enfin briller le soleil, écouter le chant des oiseaux et sentir la brise fraîche sur ma peau.

La vie au grand air, ça me manque, j'en ai assez de vivre enfermée depuis si longtemps.


Ah oui le chant des oiseaux*rêveuse* leurs doux gazouillis au réveil me manque
On dit partout que la voix des elfes est enchanteresse
Est ce la vérité ?
Au vu de votre gracieuse prestance et de votre volubile souplesse, je suis prête à tous croire ces gens.
*Passe la main dans les cheveux soyeux de l’avenante pour en lui dégager le visage*


Cela fait longtemps que je n'ai pas chanté et malheureusement les rares chansons que je connaisse, sont plus naines et paillardes qu'elfique.
De plus, tu n'as rien à envier à la grâce et à la souplesse des elfes. Tu es toi même d'une immense beauté, avec un corps comme le tien ça en devient presque un affront d'être prêtresse.
*Caresse du bout des doigts le haut du buste de Pandora*
Un tel corps avec une peau si douce est fait pour aimer et pour être aimé.


Ma tache de prêtresse ne m’a pas interdit heureusement l’acte d’amour. Il est même inconcevable de ne pas partager ce bien précieux avec son semblable

*passant un doigt volatile le long du cou a la pointe du bras Aénoria lui déclanchant un petit frisson qui laisse pointer délicieusement sa poitrine gourmande *

J’ai tant à donner à celui ou celle qui veut bien recevoir


Venant de toi, tout ne peut qu'être accepté, comment se pourrait-il que quelqu'un refuse de recevoir ce que ta bonté désire lui offrir?

Toi qui rassemble toutes les qualités de ce monde pourtant si cruel, toi qui a un corps si parfait et des lèvres si...

*passe son doigt sur les lèvres de Pandora pour en dessiner les contours*

Que j'aime ces lèvres, je te les envies elles ne sont qu'appel aux baisers.


J’attrape cette main délicate de la mienne pour lui embrasser le creux du poigner et remonté en une délicieuse pluie fine de baisés au creux de son coude. Mon autre main saisi son petit menton de poupée. J’effleure de mon pouce ses lèvres pulpeuses qui ne demandent qu’à être savourées comme de délicates cerises. Elle est si jolie et parait si fragile.
Ma bouche quitte son bras pour goûter ses fruits si raffinés. Que sa bouche est sucrée.

Tendre Aénoria, tes mots ne peuvent n’être que miel sortis d’une telle bouche



Ce baiser est si doux, plus doux et plus agréable qu'aucun de ceux que je n’ai jamais reçu. Je réponds à ce baiser donné par une multitude de petits baisers sur son visage, sur ses si douces paupières, sur le bout de son nez si joli et si froid que je veux le réchauffer, sur ses joues tendres et son menton délicat. Mes doigts parcourent sa douce chevelure et glisse sur sa peau si douce pour effleurer sa poitrine si généreusement offerte. Mes lèvres remontent sur les siennes que je caresse délicatement de ma langue.

Ma douce Pandora, ta peau est si douce qu'on ne peut que vouloir y goûter.


Au contacte de sa main sur ma poitrine, je frémis et une lumière caressante illumine mon regard qui deviens plus perçant, plus gourmand. Je désir son être, plus qu’elle ne peut l’imaginer…
Ma main exploratrice cour le long de sa jambe fluette et douce comme du satin pour y faire quelques détours dans la partie concave de sa hanche tout près de son petit ventre légèrement rebondie. Il me plait de m’y attarder en de petits cercles irréguliers, juste assez pour lui donner quelques frissons agréable. Ma main quitte cet endroit pour y saisir sans violence mais avec une certaine fermeté son séant si parfaitement bombé et musclé. Je continue mon chemin pour passer sa jambe sur le mienne. Ma cuisse rentre en contact contre son mont particulièrement ardent où je m’y attarderais bientôt.

Ma main désir en découvrir plus, elle se met à glisser sur sa taille fine en coûte pour ôter délicatement sa tunique aux voiles vaporeuses. Sans lui laisser le temps, je happe la pointe tendue de son sein généreux. Ma langue y fait le tour, découvrant chaques intumescences de sa peau. Ô seigneur combien d’âmes cette poitrine à conduit aux enfers. Déliquescente impudeur, divine volupté, ange et démon, j’y payerais mon âme pour y goûter son fruit défendu.


Ses caresses sont une merveille qui enivrent mes sens. Divine enchanteresse qu'est sa langue si précise dans son oeuvre de procurer du plaisir.
Me glissant sur elle, je me mis à retirer sa robe superflue, inondant de baisers chaque parcelle de son corps au fur et à mesure qu'elles se dénudaient. Goûtant le velouté de sa poitrine, caressant son ventre parfait, jouant de ma langue sur le creux de ses reins. Je descendais toujours un peu plus, retirant entièrement sa tunique délicate tout continuant de jouer de ma langue sur l'intérieur des cuisses de Pandora, caressant sa poitrine qui se tendait toujours un peu plus de désir.

Qu'elle est belle, sublime à faire se damner les saints. Je me redresse, remonte vers son visage, me perd dans son regard avant de prendre possession de ses lèvres si généreusement offertes, jouant de ma langue avec la sienne. Mes mains glissent le long de son corps, délicatement, pour faire naître les frissons les plus exquis.


Ma langue touche la sienne croise, caresse, goûte. Je joue de ses lèvres gourmandes, faisant les contours de ma langue en attrapant de mes lèvres les sienne, les mordille en douceur. Mes mains convoitent toujours chaque recoin de son être. Ma main quitte son sein que j’aimais pétrir pour serpenter le long de son corps et se pose sur son sexe velouté.

J’apprécie un léger soupire d’impatience de la part de ma douce et l’en remercie en me saisissant de ma bouche son sein tout en découvrant sa fleur aux pétales accrues de désir ou s’épand un divin nectar. Je plonge un doigt dans sa corolle brillante d’un rose nacré comme j’happe son téton durci. Un souffle d’une délicieuse surprise la tend comme les cordes d’une harpe.

Je jouerais chaque notes avec passion et en retirerai le son le plus pur et le plus délicat que ma muse sera me donner. Je presse son stigmate, le caresse piano, sort quelques notes rondes et noirs puis crescendo je retire de mon instrument divin des croches au temps de plus en plus court. Ma belle danse sur cette valse comme une nymphe danse sur l’eau. Son regard flamboie de toutes voluptés et m’embrase en un instant.

Vibre! Ô toi mon âme sœur ! Trembles! Ô Mur de ma raison ! Ton corps miens !



Tandis qu'en déesse des plaisirs elle s'impose, jouant de mes sens et de mon corps, je me fais artiste du désir. Dessinant sur sa peau le paysage du bonheur. Usant de ma langue en pinceau délicat et humide qui recouvre son corps des couleurs du désirs. Parcourant ses montagnes et ses vallées de mes mains créatrices de plaisirs. Partant à la découverte de son jardin où est prête à s'éclore la plus belle des roses. Je viens humer son parfum, caresser ses pétales si doux de mes lèvres. Glisser mes doigts dans cette intimité parfaite, goûter à ce nectar des dieux qui s'en échappe. Je lappe tel un chat le bol de lait qui m'est offert.

Mes mains exploratrices des merveilles repartent à l'assaut de ses seins, explorent la douceur de cette peau délicate, offrent aux sommets une danse envoûtante créatrice de plaisirs.


Ses baisers sont de feu et ses caresses piquantes éveille en moi mille désires et mille fantaisies. Peu à peu nous céderont à l’ardents brasier de cette fugace passion nos corps fusionnes en une entité nouvelle pour nous relâcher peu à peu de cette étreinte Exsangues de tous désires autre que de nous assoupir sur ce souvenir déjà passé
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