Une conférence très scientifique...

Citation :: vous trouverez le début de nos aventures en ce lieu ... la suite se poursuit ici pour la trollesse que je suis et le saurus Deimos...

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En route vers le lieu d'apparition de la fameuse centaurette arboricole, la chaleur se faisait étouffante, celle me travaillant intérieurement tout particulièrement. Je sentais l'humidité guetter sérieusement mes quelques vêtements au tissu fin, laissant apparaitre des fentes qui eurent du être cachées.

Nous nous arrêtâmes tous deux au bord d'un petit étang cristallin. le cadre magnifique et la position qu'avait prise le saurus faisaient grimper d'avantage encore ma température.

Le magnifique mâle selblait en émoi aussi lorsqu'il me suggéra de déposer mes quelques affarires afin d'être plus à l'aise... ce que je fis sans demander plus, ôtant toutes mes breloques et m'approchant de lui, nue....

il était encore fort vétu mais voilà qui ne serait pas pour me faire peur... Ma gourandise des hommes était lancée et l'oeil brillant je passai une jambe de chaque côté du corps bien fait de l'ami et me mis à genou sur lui. Je pris les deux éxtrémités de son dessus que je déchirai d'un coup sec, laissant apparaitre la peau luisante du lézard.

Déjà, ma bouche ne tenait plus et j'embrassai fougueusement le gaillard qui ne semblait encore que faire de se mains... Mes obus conquérants s'écrasaient contre le torse du saurus et nous sommes tous deux tombés à la renverse, mon corps nu contre le sien donc le pantalon semblait soudin trop petit.

Ses mains avaient enfin trouvés mon corps, corps que j'utilisais au mieux, caressant le sien avec... Mes mains contre son torse... Mon bassin bougeant au rythme de nos envies tout contre le sien...

Habituellement, avec les trolls, je passe la plupart de mon temps en leur compagnie à éviter leur coups de hache ou à tenter de les carboniser, actions qui rendent leur étude minutieuse assez ardue...
Mais là, l'occasion rêvée se présentait !

Que voulez vous... on a une conscience professionnelle ou on n'en a pas.... Pour l'heure, l'idée de l'équidé branché s'éloignait mais j'avais en face de moi...ou plutôt contre moi...enfin sur moi..un magnifique spécimen féminin d'hybride troll/reptile.

Pouvais-je décemment ne point étudier le phénomène et laisser ainsi des pans entiers de la science macérer dans une obscurité moyenâgeuse ? Non, La Vérité avait besoin de moi !
Je me dévouais donc (avec un certain empressement fébrile à mettre sur le compte de la curiosité scientifique) pour accomplir une recherche minutieuse sur l'anatomie et la biologie de ma compagne.

Tandis que je vérifiais sa réceptivité tactile en parcourant de mes paumes, de mes doigts et du bout de mes griffes, la peau de son dos, de ses épaules, du creux de ses reins avant d'examiner plus en détail, au niveau de la croupe, la résistance musculaire grâce à de savantes palpations, j'inspectais visuellement le système mammaire de l'individu.

Mais, je dois avouer cette faiblesse, en certaines circonstances (comme, par exemple, le bassin humide d'une Jess se frottant contre le mien), je suis pris de crises de myopie aigüe ! Phénomène assez étrange qui fait que lorsque l'excitation (scientifique, l'excitation, est-il besoin de le préciser ?) me submerge, ma vue baisse ! ce qui me contraint à m'approcher davantage pour poursuivre mon examen...
J'approchais donc mon visage des seins tendus et afin d'avoir une observation complète, je décidai brusquement qu'un examen visuel était insuffisant et se devait d'être rapidement complété par une investigation gustative.

Ainsi, tandis que mes mains vérifiaient postérieurement l'existence de certains points névralgiques et sensibles (décelables grâce aux brusques accélérations des mouvements des flancs), je pris en pleine bouche les globes tendus et offerts.
Je pus faire différentes constatations immédiates :
- capacité vocale de la trollette à aller vers les aigüs.
- Accroissement des mouvements du périnée
- Bas ventre de la trollette qui se colle contre le mien, provoquant la sortie intempestive d'un instrument scientifique qui, comme doué d'une vie propre, allait commencer ses propres investigations sans mon accord
- réponse nerveuse ultra rapide de l'individu : des tétons qui à peine effleurés, se durcissent et se redressent, des globes qui se raffermissent immédiatement.
- gout sucré de la poitrine de la trollette, légère effluve d'abricot et de poivre.

La machine scientifique était lancée! Je retournais impétueusement la trollette sur le dos, l'allongeant sur l'herbe rase et poursuivis fiévreusement mon enquête gustative.
Alors que de mes mains, je vérifiais les réflexes au niveau des cuisses, ma langue poursuivit son exploration, tentant de répondre à la problématique suivante : l'individu avait-il le même gout à différents endroit du corps ? Après un rapide détour vers les clavicules et le creux du cou, l'itinéraire se dirigea vers le bas, effleurant les côtes tendues, glissant le long des abdominaux, titillant le nombril avant de s'acheminer, lentement, mais surement vers certaines parties du territoire encore inexplorées.

Arrivé dans cette region de creux et de relief, la langue à l'entrée de la conque, les mains solidement arrimées à la croupe, j'effectuais un examen précis et détaillé, tant le goût et les senteurs de l'endroit me paraissaient riches, complexes et variées. Le goût sucré avait en effet laissé place à une saveur plus marine, plus corsée et il me fallait comprendre cet étrange phénomène.

Je dois préciser que durant l'examen, qui fut assez long, la trollette me fut d'une grande aide car elle fit tout ce qui était en son pouvoir pour m'aider dans mes recherches : soulevement du bassin, écartement des cuisses pour faciliter l'exploration, maintien de ma tête dans la bonne position...

Vraiment, un sujet d'étude passionnant !

Les doigts griffus du saurus passant dans mon dos et descendant doucement vers mes reins me firent frissonner d'avantage, je partait dans un monde de rêve où les sensations tactiles étaient de mise, où le plaisir charnel était lot de tous les jours et j'avais envie que ce moment jamais ne s'arrête.

Et à mon grand bonheur, cela continua effectivement, je sentis la langue poitue du reptile effleurer le bout de mes seins, faisant durcir immédiatement mes têtons déjà fort tendus et me faisant pousser un petit gémissement de bien-être.

Je sentais avec plaisir son sexe tout contre le mien qui voulait s'enfuir du tissu qui le compressait et le dîner que prenait la bouche de mon bel ami ne semblait pas arranger les choses. Le traitement donné à mes seins tendus ne faisaient qu'augmenter mon désir déjà fort présent et je sentais que mon désir commençait à apparaître sur le pantalon du saurus.

Mais voilà que le beau prenait l'initiative, me retournant d'un geste brusque sur le sol et de sa langue jouait avec mon corps aussi bien que le poète de sa lyre. Je sentais les mains délicates s'attarder sur mes cuisses rondes, me faisant soulever légèrement le bassin.
La langue continua sa route en descendant vers de pronfondes vallées encore pour lui inexplorées, goûtant aux muscles tendus de mon ventre et s'immiscant dans mon nombril pour continuer sa route vers le gouffre du Bonheur.

Le contact de sa langue sur mon bouton d'or me fît immédiatement pousser un petit cri de plaisir et écarta d'avantage mes cuisses, enserrant de mes jambes sa taille pour l'approcher d'avantage de moi...

*Oh, surtout ne t'enfuis pas, fais moi plaisir*

La langue chaude s'insinuait partout me faisant sans cesse gémir d'un bonheur sans limite. Sans m'en rendre compte, j'avais même attrappé la tête de l'ami pour mieux encore la plonger dans le nectar délicat qui s'écoulait sur ses lèvres délicates.

Sa langue pénétrait maintenant la grotte et son doigt accompagnait ses fouilles en titillant la patite montagne rose... Je n'étais plus moi-même et au bord de l'explosion j'avais envie qu'il me prenne, de me soumettre pour une fois au ténébreux amant qu'il allait être pour moi.

Je vis à quelques pas des oiseaux s'envoler, effrayés par les cris aigus que je venais de pousser en les rejoignant de le ciel. mes genoux enserraient la taille du saurus et mon corps entier s'était crispé. Ma vue était brouillée... Etais-je morte ?

Mais non, me voilà déjà, je reviens sur terre, lachant mon ami qui semblait heureux. Un large sourire se dessinait sur son visage...

*Oui, tu m'as conquise mon beau ... mais attend, ce n'est point encore fini*

Sans mot dire, je glissai mes mains dans son pantalon, caressai ses fesses rondes et insinuait ma main sous la longue queue du saurus. La caresse de ma main sur les bourses du reptile semblait produire l'effet escompté et je profitai de mon autre main pour oter le dernier rempart à sa nudité.

A peine cela fait, sa lame tendue sortit comme un diable de sa boite, se présentant juste devant mon visage.

Je passai doucement ma main sur le bel outil, flattant son pelage comme celui d'un chaton. Mais je ne pus résister à la beauté et mon défaut de gourmandise étant toujours présent... je me devais de goûter cette merveille...

J'en titillai doucement le bout pour en goûter la saveur. Un peu de nectar doucement épicé apparaissait à son bout et je le goutai avec délectation.
Ma langue s'enroulait autour du sexe fièrement érigé et ma bouche accepta soudainement sa présence.

Je le sentai venir au fond de la cavité, aidé par le saurus qui semblait parti lui aussi dans son monde, les yeux mi-clos et le bassin bougeant seul.

Avec plaisir je serrai ma bouche autour du membre durci tel sur un bâton de réglisse. Je l'aspirai parfois comme pour l'avaler...

Il semblait apprécier le traitement...

Soudain, alors que j'accélérais le rythme de mon exploration, mon sujet d'étude poussa un hurlement à déplumer les oiseaux en plein vol. Cessant momentanément mes mouvements de langue et relevant la tête pour voir de quoi il s'agissait, je vis la trollette, le regard fièvreux, le rouge aux joues, me fixer d'un air hagard, un drôle de sourire sur les lèvres...

Je ne sais ce qu'il me prit. Une sorte d'atavisme reptilien, sans doute.. Mais de voir ainsi, à quelques centimètres de moi, une trolle me regarder d'un air gourmand, mon corps réagit aussitôt, se mit en position de défense. Je brandis mon glaive, prêt à recevoir l'assaut déchainé de la barbare.

Bien m'en prit car elle se jeta sur moi avec férocité. Je tentai maladroitement de parer le coup mais par une étrange magie, elle m'immobilisa soudainement et activa de ses lèvres purpurines un sortilège qui, lentement mais surement, me pompa mon énergie en longues goulées...
Je tentais bien de repousser l'assaut par des mouvements désordonnés de bassin, rien n'y fit. Je saisis ses longs cheveux, essayant de ruser, de suivre son étrange cadence mais une étrange langueur s'emparait de moi... Je sentais mes forces m'abandonner...bientôt je serai complètement à sa merci.. Plus que quelques instants et ma vie s'écoulerait hors de mon corps en puissants jets !

Par un effort surhumain, je réussis à rompre le sortilège ! Quelle puissante magie se cachait à l'intérieur de sa bouche chaude et humide... Il faudra que j'étudie ça encore... plusieurs fois, même si besoin est !

Mais pour l'heure, profitant d'un regain de vigueur, brandissant mon pieu, je renversai l'adversaire, détournai son attention en saisissant ses seins à pleines mains et, ajustant mon attaque, trouvai la faille dans sa cuirasse, pénétrai d'un brusque mouvement ses défenses, et plongeai mon pieu dans son corps.

Je l'avais atteinte car elle se raidit brusquement, poussant un léger cri et m'agrippa les hanches pour m'entrainer dans sa chute. J'étais en position de force. Je poussai littéralement mon avantage en remuant mon arme, par des mouvements convulsifs et répétés de va et vient ,dans la blessure maintenant ruisselante.

La trollette se débattait, criait et griffait, m'entourant la taille de ses cuisses musclées mais a chacun de ses coups de reins, je répondais par une pénétration plus profonde, mes hanches collées à son bas ventre.

Soudain, un ultime râle, un dernier halètement, une dernière crispation orgasmique et elle retomba, inerte et vaincue...

Je croyais le combat terminé, ma victoire assurée... Hélas, c'était mal connaitre la légendaire endurance couplée à la phénoménale capacité de récupération des trolls. Jess revint à la vie, le regard de braise et le corps en feu, prête pour un nouvelle attaque.

Et soudain....

[HRP]Ce RP ne pourra abouttir à la suite de la mort de la trollesse ... pour tout renseignement... contactez Nymfolle... [/HRP]