Il est tant que le peuple se lève,
Que ce nom soit sur vos lèvres,
Ecoutez le grondement qui s’élève,
Tel la vague s’écrasant sur la grève.
Vous les croquants de cette terre,
Il est tant que vous réagissiez,
Et debout face à nos dieux et pères,
Les armes en cet instant vous preniez.
Vous gens de Sarwyen écoutez cet appel,
Vous citoyens qui se sentent spoliés,
Que mes vers de votre conscience interpelles,
Et que la poudre maintenant allumiez.
Il est tant de fomenter cette guerre,
Car l’ennui et la frustration sont nés,
Vous qui ne savez plus comme naguère,
De nos pseudo Rois vous faire écouter.
Chassons au loin ces lugubres images,
Ceux qui du plaisir viennent arrêteCr l’essor,
Dans notre ciel, il y a trop de nuage,
Il est tant de combattre votre mort.
Vous gens de Sarwyen écoutez cet appel,
Vous citoyens qui se sentent spoliés,
Que mes vers de votre conscience interpelles,
Levez vous et avec nous soyez prés à marcher.
Quittez vos clans, la rébellion est annoncée,
Ensemble marchons vers tous ces palais,
Que de l’engourdissement vous avez créé,
Et qui nous apparaissent maintenant si laid.
Princes et seigneurs ne vous sentez pas irrités,
Nous sommes tous empli de cette rage,
Et je sais qu’un jour vous y avez songé,
Il est donc temps de réparer ces outrages.
Vous gens de Sarwyen écoutez cet appel,
Vous citoyens qui se sentent spoliés,
Que mes vers de votre conscience interpelles,
Formez vos bataillons et à mos cotés luttez.
Vous prêtres, barbares, voleurs et sorciers,
Rejoignez les rangs des rôdeurs et guerriers,
Que d’une seule voix cette armée soulevée,
Vienne sur cette terre tout brûler.
De cette Révolution chacun pourra voir,
Si dans nos rangs votre choix est fait,
De la destruction renaîtra alors l’espoir,
Mais de l’ennui ils seront tous refaits.
Vous gens de Sarwyen écoutez cet appel,
Vous citoyens qui se sentent spoliés,
Que mes vers de votre conscience interpelles,
Dans la Révolution venez maintenant vous engagez.