Elimnor, la boule de poils face à l'inconnu...

Dans les plaines verdoyantes de Terendolil, une étrange créature parcourt les steppes désertiques à la recherche de quelque-chose. Il est seul, pas d'armes visibles, juste un étrange costume au brodage elfique mais qui fait ressentir de la peur de la souffrance, comme ce que portent les elfes noirs. Etonnant me dira t'on? Comment un félys, pauvre créature comme il est censé être peut il porté un habit que son peuple n'as pas l'habitude de porter? Et bien, allons donc voir, où ménent ses pas et sa quête pour savoir de quoi il en ressort...

Mon poils est collant de transpiration, pourtant, le soleil tappant ne fait pas le poids face à la fraicheur des steppes. Pourtant l'invoquateur Rohin de la grande lignée des Kaltulas m'as bien dit de venir par ici. Je ne sais où je vais, cela fait des heures que je marche sans l'ombre d'un signe, d'une lueur, d'un espoir.

Je me rapelle les jours passés, je me promenait dans la ville prohiminante de ces terres, j'avais à mon cou depuis des décennies ce collier richement sculpté par une civilisation que je ne connais pas, mais dont certaines progénitures ères ici et là, et me ressemble.

Soudain, un être me ressemblant m'aborde et me dit ces mots :
" Ho toi, dont le pelage trahit ton passé, montre moi donc ce que tu porte autour du cou, j'ai l'impression que cet objet m'est familier"

Moi interloqué et en quête de réponse, je lui tend, et celui-ci me dit :
"Hum...cet objet est mystérieux, sais tu toi même sa provenance ?"

"Non, non, si je suis dans cette ville c'est pour avoir des réponses, mais je ne sais où les trouver... "

"Et bien, je pense que l'invoquateur du coin te serais d'un grand aide, va donc le voir, il est sage et aimable avec le "bas" peuple. De plus, il adore découvrir des choses mystérieuses, je pense qu'il te sera d'un grand aide"

Après m'avoir indiqué la boutique de cet invoquateur, je le remercie et m'en va en quête du lieu de résidence de ce sage.
La massure était assez noble, avec une vitrine exposant divers objets mystérieuse et insolites. Comment un être vivant ici peut s'interresser aux pauvres gens, le meilleur moyen de le savoir est d'entrer.

Je pousse la porte avec ma patte douce, des clochettes retentissent, pour l'entrée silencieuse c'est raté, me dis-je à moi même, pestant cette maudite porte.

Un vieil homme assit derrière un comptoir, lisant un livre poussiereux lève son nez et me regarde. Surpris de voir un félys entré dans sa boutique, il se lève et me salue. Je m'approche de cet homme interloqué qui m'adresse ces simples mots :
"Et bien, bonjour noble félys, que me vaut votre visite dans mon humble demeure ?"

Je lui répond surpris d'entendre ce mot qui retentit dans ma tête "Noble" :

"Ne vous détrompez pas, mon accoutrement parait peut être noble par ses broderie et ses tissus richement décorées, mais je peut vous dire, que je suis plus humble que votre demeure, au point de me considérer comme pauvre... un voyageur de grand chemin et d'autres plus tortueux... je suis en quête de réponses, et je pense que ce médaillon pourrais me les donner..."

Il s'incline puis montre son médaillon au vieu sage...
[under construction sortez les trebuchets !!]

Le vieux sage semblait perplexe... les glyphes parcourant l'objet lui était inconnu mais à la fois connu, quelque chose dans son esprit lui semblait faire une effet de déjà vue avec cette relique. Il me posa une question :

" Depuis combien de temps avait vous ce médaillon ? Savait vous son age ?"

Moi, ignorant de tout ce qui concerne cet objet de valeur lui répondit :

"Tous ce que je sais, c'est que je l'avais autour du cou très jeune et qu'il ne ressemble aucunement à l'art et le style exercé par mon peuple..."

"Hum...si les souvenirs ne peuvent révéler la vérité, le savoir de l'érudit le pourra peut être..."

Sur ces mots, il se dirigea vers des escaliers montant à l'étage, ne sachant si j'avais le droit, je lui emboîta le pas. Je fut émerveillé par ce que cette boutique m'offrait à mes yeux avide de découverte, une salle moyennement grande remplit de hautes étagères ou trônait ici et là des livres récents et d'autres plus anciens, côtoyant parchemins et feuilles volantes. Où la poussière était témoint d'un savoir qui fut réunit jadis... dans des temps si reculait qu'on ne saurait daté exactement, le jour où le premier de ces livres fut venu hanter ces lieux.

Suivant ces pas, nous nous engouffrions dans un dédale d'étagères, puis surpris sur le coup, l'homme s'arrêta et moi, failli le bousculer si mon agilité féline n'était pas si aigu. Il observa une étagère plus que centenaire et observa brièvement son contenu... Il posa son pied sur le rebord d'un étage de livre puis saisi avec sa main à la fois sûre et fébrile un vieux livre avec une glyphe sur la couverture.

Il se remis face à moi et souffla un cou sur le livre faisant voler un nuage de poussière, il l'ouvrit avec toute la délicatesse d'un geste devenu habituelle. Et scruta les pages à la recherche d'un indice qui percerai le mystère de ce médaillon....

Le vieux sage était vraiment fascinant, voila bien qu'il me semblait y avoir plusieurs heures passé à ce qu'il ai le nez dans son bouquin... Moi qui était énergique ne pouvais tenir plus longtemps, au moment où je m'apprêter à saisir un bouquin posé là et qui m'attirait le regard, la voix inattendu de l'envoûteur me surpris en interrompant ce silence lourd et pesant. De cette voix avide de découvertes et de secret, il me demanda :

- Je crois avoir déceler "quelques mystères" concernant votre personne, et votre "vrai" appartenance en tous cas, mais avant de vous révélez mes découvertes, j'aimerais que vous me parliez de vous et de votre passé. Qu'etes vous ? Que pensez vous être ? Qu'elle fut votre aventure unique en elle-même sur ces terres 3 fois plus que millénaire... ? Cette aventure est unique pour chaque être qui foule ces terres, et c'est pour cela qu'elle est intrigante et fascinante.

Surpris par cette question et avide de savoir ces secrets concernant mon médaillon… Je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Ma vrai appartenance … ? Mais, j’ai toujours vécu comme ça, je sais à qu’elle race j’appartient… cette phrase m’interloqua… il veut connaître mon passé, et bien je vais lui ouie dire ! Tel un orateur, un poète de temps oublié, un comédien dont ont as oublié le nom, je racle le fond de ma gorge pour aiguisé ma voix, de mon agilité, je monte sur un tas de livre posé là, je ferme les yeux, me remémore les bons souvenirs de temps éloignés, des sentiments de nostalgie m’assaille. De la mélancolie envahis mes sens, mais les mauvais souvenirs me reviennent, et là une larme est prête à couler et n’attend qu’une dernière « goutte » de songe tombe pour à son tour glisser sur ma joue.

Mais le temps n’est pas à pleurer, mais bien à déballer ces souvenirs, pour réciter mes épopées et psalmodiés mes sombres passés. Je lève ma patte droite comme pour montrer une étoile imaginaire et commence par ceci :

- L’endroit ou j’ai ouvert les yeux pour la première fois, m’est inconnu, mais celui où pour la première fois mon regard c’est posé, je m’en rappelle. C’était quelque part dans des ruines blanches assaillies par la verdure d’une forêt, dans une clairière, où la lumière chaleureuse et rassurante d’un ciel ombragé par les feuilles des arbres contrastait avec l’obscurité apeurante et mystérieuse de l’inconnu.

Dans cet endroit, le visage parfait et doux d’un être mystérieux pour moi à cette époque posa son regard sur le mien. Il me saisie avec une moue de pitié en me regardant et m’emmena dans l’obscurité de la forêt. Malgré ces sentiments d’inquiétude qui grandissaient en moi, la chaleur que dégageait cette femme me rassurait et réfrénait les battements de mon cœur. Nous avancions vite, très vite, les branches des arbres défilaient à vive allure devant mon regard naïf et innocent.

Hum… mais là vous allez me demander, qu’elle est cette personne qui m’emporta ainsi ? De quel peuple appartient t’elle ? Que fait elle dans cette forêt si dangereuse ? Et bien à ces questions, je vais me presser de vous y répondre…

Sur ces mots, il descendit de son estrade improvisé et se dirigea vers un livre qu’il avait remarqué plus avant…

.... Il saisi le livre, le feuilleta d'une lecture imaginaire et rapide.... de la poussière s'éleva dut au temps passé dans cette bibliothèque, oublié par ces rats de bibliothèque qui ère ici et là entre odeurs de vieillerie et de moisissure. Il finit, pensif, par fermé le livre d'une patte et de proposer sa première de couverture au vieux sage. Le vieux sage sourit et fronça les sourcils en disant dans sa barbe mal taillé :

Hum.... L'histoire des elfes, gloire et décadences.... Intéressant .... mais d'où en vient donc le rapport avec vous ? Vous n'avez rien d'un elfe...

Elimnor était en accord avec le sage, un elfe, on lui avait longuement répété dans son passé, « Sache mon cher ami que nous ne sommes pas des elfes » que son professeur de sociologie mystique lui avait longuement rappelé. Il se surprit à penser de trop et avoir oublié le sage, il secoua la tête pour sortir de ses pensées et repris en montrant la couverture d'une de ses griffes acérées :

La chaleur de ma mère, je la ressent encore aujourd'hui, comme si elle me lovait dans ses bras. Je ne savais pas ce qu'elle était, cause de mon jeune âge, mais ce que je savais à l'époque, la chose que mon coeur as toujours était assuré, c'est qu'elle était le miroir de mon âme.

Puis, ma première maison, fut la chaleur d'un arbre au tronc énorme, dont les pièces s'enfonçaient sous la terre, comme la tanière d'une meute de loup. J'appris plus tard, que c'était la coutume de mon peuple, mais ça c'est une histoire bien plus récente. Puis arriva, le temps de mon éducation, par ce que j'appris, je crut mon peuple appartenant aux elfes, dut à leur grande ressemblance avec cette race. Mais j'appris bien plus tard mes erreurs, car je compris pourquoi nous vivions au contact de la mère Terre. Mon peuple, les elfes noirs rejettent leurs ancêtres et leur appartenance aux elfes. Ils décidèrent, il y as de ça des millénaires de quitter la protection des arbres pour créer une unicité dans leur passé... Mais l'histoire des drows, vous la connaissez et les interloquations de votre esprit seront sûrement elucidées dans ce livre...

Ayant accomplis sa tache, il remis le livre là, ou il l'avait trouvé, et sortis ses armes qu'il cachait habilement et secrètement à sa ceinture dans son dos.... Ce mouvement parfait et rapide fis tressaillir le sage qui crut que l'être, en voulait à sa vie...