Je veux attraper les liens divins,
M’emmêler dans ces cordes dorées placées au dessus de moi,
Car il y a forcement un Haut Dessus.
Que serait une maison sans un toit au dessus du plafond ?
Ceux sont ses cordes du cloché que je veux attraper.
Non pas pour grimper au sommet,
Mais seulement pour m’y suspendre, m’y attacher, me laisser balancer.
Je veux que le son du toit soit mon guide.
Je veux que le vent qui m’entraîne soit mon maître.
La force du cuivre pour me soutenir.
Mais je ne saurai m’attacher à ce qui romps.
Etre balancé contre la pierre est moins dur que d’être écrasé par le ciel.
Si le cuivre bleu s’est mal forgé,
Mieux vaut abandonner le cloché,
Le seul maître restant le vent.
Mais pourrais-je sentir le vent sans les cordes pour me guider ?
Faut-il croire en son cloché ?