Danahel marchait dans la vase, s’enfonçant légèrement à chaque pas.
L’espèce rarissime de champignon qu’il cherchait, d’après le grimoire, se trouvait par ici. Mais il fallait encore le trouver. Bizarrement, il avait la sensation désagréable que quelqu’un le suivait, mais qui pourrais le suivre à travers ce dédale d’arbre, de mare, de vase et d’autres choses peut ragoûtantes. Mais malgré cela, le mage continuait à marcher. Ses pieds s’enfonçaient de plus en plus, jusqu'à retenir la chaussure de Danahel sans son pied à l’intérieur. Surpris, il reposa son pied nu dans la vase, et regarda sa botte être aspiré à travers les sables mouvants. Il ne fallait plus qu’il bouge, sous peine de rejoindre sa botte. Il regarda au dessus de lui, et aperçu une branche à hauteur de ses petits bras maigre de magicien. Sauvé ! Il attrapa la branche et se hissa de toute ses forces, jusqu'à sortir lentement du sable dangereux.
Il descendit de l’arbre et constata une fois en bas qu’il venait de s’écharper son pied sur l’arbre. Comme quoi, on ne voit l’utilité des bottes qu’une fois qu’on en a plus.
Il continua sa marche à travers le marécage, évitant tout piége ou espèce dangereuse.
Danahel croisa même un oiseau qui se fis harponner par une plante carnivore, qui s’empressa de ramener son long filin vers elle pour digérer tranquillement le piaf. La nature était aussi cruelle qu’un enfant envers ses camarades de classe ici. Il croisa même un arbre qui referma une sorte de grand piége à ours géant végétal sur un crocodile, qui mourut sur le coup. Il ne faisait vraiment pas bon vivre ici. Mais Danahel sentait toujours un regard dans sa nuque. Quelqu’un le suivait toujours.
« Qui êtes vous ? Je vous connais ? Sortez d’ici s’il vous plait, que le traqué vois le traqueur … »