La revelation du jour...

Ben tiens, moi aussi j'ai une révélation à faire!

Diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!!!!!!!!!!!!!!!!

quoi, tu est polonaise ?
toi aussi ??!

Elle aussi ?!
Aelis, tu es polonaise !

EDIT : zut, me suis faite devancée !

Naaaan .... si ?

j'aurais dû dire qu'elle était inuit !

Presque! Je suis poilaunèze!


EDIT: z'avez vu mon nombre de messages? C'est pas beau ça?

plus que soixante !

tous ce foin pour un truc que je savais

4 pages a lire pour rien!

Alors que je m'attendais a un truc de fou

non franchement.... c'est moche!

Lilis! SIGNALLLLL

Signal plus à la menthe fraiche?

fait gaffe je pourrai interpreter a ma facon

T'as toujours compris ce que tu voulais comprendre comment tu voulais le comprendre, façon!

sauf que j'en ai marre de parler a la boite vocal donc! SIGNALLLLL

Nooooooon! Teraxyl!!!
H- pas beaucoup avant le top...
Restez attentifs!

faut que je consulte l'horloge parlante?

Blourp Blourp Vegas a écrit:

Quoi c'est ça ? Même pas un coup de bistouri, rien ?

Oui bravo Shery, mais je suis déçu ^^

Déçu ?
Bon, attends. C'est vrai que dit comme ça, ça n'a pas l'air extraordinaire.

Maintenant...

Citation :

Nie lubię wojny, nie lubię żadnego rodzaju wojny . To nie przez sentymentalizm . Zostałem czterdzieści dwa dni przed fortem Vaux i od tamtej pory trudno mi jest zainteresować się trupem . Nie wiem czy to wada czy też cnota : to po prostu fakt . Nienawidze wojny . Nie godze się na nią tylko ze względu na to że jest ona niepotrzebna .
Nic strasznego ; nie, tylko niepotrzebne po prostu . To co mi przeszkadza w wojnie to nie jej okropność tylko jej nieprzydatność . Powiecie że to właśnie ta nieprzydatność jest okropna .

Niemożliwe jest do wytłumaczenia okropności tych czterdziestu dwóch dni przed Verdun , ludziom którzy urodzeni po bitwie są teraz w sile młodości .
Mówie o większości . Oczywiście, zawsze jest pewna mniejszość której nie ma sensu nauczać .

Większość jest przyciągana przez okropność : czuje że może w niej żyć i umierać jak inni, i nie gniewa się gdy zmuszamy ją dopowiedzenia tego .
Nie ma innych prawdziwych powodów, niekończącej się akceptacji tego co póżniej nazywamy męczeństwem i poświęceniem .
Nie możecie im dowieść okropności {…} ona znika . Dodam że pomimo całej swojej okropności, gdyby wojna była potrzebna, było by prawym ja zaakceptować . Ale wojna nie jest potrzebna i jej nieprzydatność jest ewidentna .
Nieprzydatność każdej wojny jest ewidentna .Czy będzie ona obronna, atakująca, cywilna, pokojowa, wszystkie wojny są niepotrzebne .
Duża liczba wojen w historii ukazuje że żadna z nich nie była udana bo zawsze trzeba było je wznawiać .
Wojna 1914 była najpierw dla nas, francuzów, zwano ją defensywną . Broniliśmy się ? Nie, i jesteśmy w tym samym punkcie co przedtem . Póżniej miała się ona stać wojna prawa . Stworzyła prawo ? nie, od tamtej pory nadal żyjemy w niesprawiedliwych czasach . Miała być ostatnią wojn ; była wojną do zabijania wojny . Udało jej się ? nie .
Przygotowują nam nowe wojny, nie wyszło jej, zabijała tylko ludzi .
Hiszpańska wojna cywilna, jeszcze się nie zakończyła, a już widzimy jak bardzo nie jest ona potrzebna .
Zgadzam się na jakąkolwiek prace byle była przydatna, nawet za cene własnego życia. Odrzucam wszystko co nie potrzebne a na pierwszym miejscu wszystkie wojny bo jest to praca której nieprzydatnosc jest jasna jak słońce .

Ensuite, tu passes à la traduction (j'adore ce texte de Giono) :

Citation :

Je n'aime pas la guerre, je n'aime aucune sorte de guerre. Ce n'est pas par sentimentalité. Je suis resté quarante-deux jours devant le fort de Vaux et il est difficile de m'intéresser à un cadavre désormais. Je ne sais pas si c'est une qualité ou un défaut : c'est un fait. Je déteste la guerre. Je refuse de faire la guerre pour la seule raison que la guerre est inutile. Oui, ce simple petit mot. Je n'ai pas d'imagination. Pas horrible ; non, inutile simplement. Ce qui me frappe dans la guerre, ce n'est pas son horreur : c'est son inutilité. Vous me direz que cette inutilité précisément est horrible. Oui, mais par surcroît. Il est impossible d'expliquer l'horreur de quarante-deux jours d'attaque devant Verdun à des hommes qui, nés après la bataille, sont maintenant dans la faiblesse et dans la force de la jeunesse. Y réussirait-on, qu'il y a pour ces hommes neufs une sorte d'attrait dans l'horreur en raison même de leur force physique et de leur faiblesse. Je parle de la majorité. Il y a toujours, évidemment, une minorité qui fait son compte et qu'il est inutile d'instruire. La majorité est attirée par l'horreur : elle se sent capable d'y vivre et d'y mourir comme les autres : elle n'est pas fâchée qu'on la force a en donner la preuve. Il n'y a pas d'autre vraie raison à la continuelle acceptation de ce qu'après on appelle le martyre et le sacrifice. Vous ne pouvez pas leur prouver l'horreur [...] L'horreur s'efface. Et j'ajoute que malgré toute son horreur, si la guerre était utile il serait juste de l'accepter. Mais la guerre est inutile et son inutilité est évidente. L'inutilité de toutes les guerres est évidente. Qu'elles soient défensives, offensives, civiles, pour la paix, le droit pour la liberté, toutes les guerres sont inutiles. La succession des guerres dans l'histoire prouve bien qu'elles n'ont jamais conclu puisqu'il a toujours fallu recommencer les guerres. La guerre de 1914 a d'abord été pour nous, Français, une guerre dite défensive. Nous sommes-nous défendus ? Non, nous sommes au même point qu’avant. Elle devait être ensuite la guerre du droit. A-t-elle créé le droit ? Non, nous avons vécu depuis des temps pareillement injustes. Elle devait être la dernière des guerres ; elle était la guerre à tuer la guerre. L'a-t-elle fait ? Non. On nous prépare de nouvelles guerres ; elle n'a pas tué la guerre ; elle n'a tué que des hommes inutilement. La guerre civile d'Espagne n'est pas encore finie, qu'on aperçoit déjà son évidente inutilité. Je consens à faire n'importe quel travail utile, même au péril de ma vie. Je refuse tout ce qui est inutile et en premier lieu toutes les guerres car c'est un travail dont l'inutilité pour l'homme est aussi claire que le soleil.

Jean Giono, " Lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix " (16 août 1938) Ecrits Pacifistes.

Ah ouais quand même hein, la on peut mesurer un peu plus la difficulté de passer d'une langue à une autre.

Tout le monde sait que parler une langue c'est une chose, l'ecrire c'est autre chose, mais l'écrire correctement et savoir tourner les phrases avec adresse, c'est encore plus difficile.


Alors, toujours déçu ?

A noter que c'est la petite demoiselle qui a avait traduit le texte de Giono en Polonais.

Vegas, tu nous fais la même chose mais en anglais ?

YES I WHAT ELSE MOTHERFUCKEEEEEEERS !!!

looooooooooooooooooooooool

t'a oublié la ponctuation

YES I WHAT ELSE MOTHERFUCKEEEEEEERS !!!
"oui je quoi d'autre d'autre raagloup"

le traducteur ayant rendu l'ame, vous devrez vous démerder pour traduire le dernier mot.....

Moi aussi je traduis la composition sur les boite de biscuit! et même dans des langue que je connais pas

Vous m'avez fait saliver, j'avais peur qu'au bout de ces 5 pages on sache toujours pas ce que c'était, la révélation ! ^^

Shery !

Pas mieux