Note amère pour une grande Dame

Mais qui est-elle ?

Elle se bat pour ses convictions et à juste titre.
Elle est généreuse, et son amitié est un bien précieux que beaucoup souhaiteraient garder rien que pour eux ; comme je les comprends !
Elle aime l'écriture, elle brille dans ses poèmes.
Je t'adore Aislin.

Cette partie du forum lui appartient entièrement, c'était pour moi une sorte de cadeau face à l'indifférence de la communauté, un coin pour elle et son amour des mots, pour qu'elle puisse les cultiver quelque part dans un endroit où d'autres la rejoindraient, pour se livrer à ce même partage, celui des verbes et des mots qui font rever.

Mais voila, quand la sottise s'en mêle et s'emmêle, les rêves s'effondrent et même si je sais qu'elle le pense, elle ne me le dira jamais, parce que c'est une grande Dame bien au dessus de la sottise des uns et au delà de celle des autres, ceux qui ont refusé son invitation à venir ici. Parce que ici, c'est le forum des méchants, les Hellequins, ceux que l'on montre d'un doigt fielleux et accusateur, ce même doigt qui devrait écrire des verbes et des mots sans se préoccuper des "on dit", et plutôt que d'indiquer la direction de la sottise, cette sottise qui condamne les membres de ce forum.

Vous qui jugeait dans l'ignorance, je vous salue aussi bas que possible, au raz du sol, tout pres de fientes, pour toute la peine que vous avez fait à cette grande Dame qu'est Aislin.


Arlequin, ne vous en déplaise !

Elle joue avec les mots et les coeurs des hommes,
Toujours envoûtante, poésie pleines d'arômes,
Elle conquit des royaumes avec ses vers,
Pose son empreinte en plein dans mon univers.
Eternelle déesse que je respecterai à jamais,
Ne mérite pas les critiques de vulgaires laquais...

En résumé Aislin, je pense pouvoir le dire, est pour moi la meilleure rôliste de Sarwyen, monde d'insensibles.
C'est en tout cas ses mots qui m'on touchés plus que tous les autres...

Jugez tant que vous voulez... Mais essayez donc de l'égaler...

Qui refuse la fleur car il n'aime pas le pot
Fait injure la fleur et n'atteint pas le pot...

...

Aislin est la rose, fleur noble et épanouie
Au milieu de nos mots profanes et trop faciles
Comme les fleurs des bois ou les fleurs des prairies.
Reine du verbe qui chante, et qui sonne, et qui file
Droit comme la flèche entre l'acier des grilles
Elle touche votre coeur, et votre âme futile...



Parler en mots, c'est déjà pas donné à tout le monde. Parler en vers, c'est encore plus difficile, la technique tue l'émotion, et pourtant, l'émotion, c'est la seule chose qu'on ressent vraiment quand on la lit. La technique disparaît, c'est une magie rare. Et nous sommes honorés d'abriter en nos murs (tout inexistants qu'ils soient), un talent si délicat et si noble...

J'ai déjà dit noble ?

M'en fous, c'est pasque je le pense deux fois...
(j'ai mis le grand sourire, mais je pensais les doigts )
(et même ça ça rime, ça doit être contagieux ! )

Je me jète à l'eau, même si je sens la noyade pas très loin...

Aislin…

Je n’ai pas ta poésie, je ne sais pas jouer avec les vers, et je m’emmêlerais avec les pieds si je tentais d’écrire un poème.
Je sais seulement que les mots apportent sourire et rire, tristesse et émotion, mais aussi méchanceté et haine s’ils sont mis entre des mains de vipère.

Je sais tous les venins que tu as vécu
Je sais que tu es forte
Je sais que tu as cette grâce en toi
Celle qui fait de toi quelqu’un qu’on aime.

Je voudrais te dire tant de choses
Et je reste sans mots.
Quelle ironie, moi qui les aime tant
Et qui suit incapable de les faire sourire.

Le temps passe
Pas l’oubli
Apres… Après il reste les autres
Ceux qui nous entourent
Ceux qui nous comprennent pas toujours.
Et puis, il y a des gens, comme ça, pris au hasard ou venus de n’importe où, ces gens qui lise tes poèmes et qui les aime.

Quant à moi… c’est toi mon poème.

Vous serez pardonnés,
obscurs croquants
si l'envie vous prenait
l'esprit venant

de vos yeux bien ouvrir
et l'âme aussi,
pour connaître plaisirs
en vers, ici.

Flatteront vos pensées
zéphyrs charriant
symphonies éthérées,
quatrins charmants.

Offerte chaque rime
cadeau frisson,
du souffle qui anime
qui est passion

de notre muse habile
qui donc? Devines
Ô boudeur imbécile,
nulle autre, Aislin!

Mais si l'huis ne poussez,
et les yeux clos,
votre humeur conservez,
sans lire un mot,

bien nous fasse, chez nous
magie, il y a.
Loin de vos dents de loups
Aislin est là.

Au fin fond du volcan, Arlequin m'a vu
Sous cette pluie de violence, nous nous sommes connu
Par cette altercation, il m'invita chez les fous
De cette communication, je m'approcha de vous.

Si j'ai fait le premier pas
C'est qu'Aislin était là
Me risquant à la noyade
Qui me parait inéluctable

Humble voleuse et tellement mystérieuse
D'un style inégalé et toujours généreuse
Pour toi aujourd'hui, les rimes seront mienne
Par tous vos vers, les frissons me reviennent

Je voudrais vous dire merci pour tous vos poèmes
Mais surtout pour un seul, celui qui est pour moi-même
Vos quelques rimes resteront gravées dans mon coeur
J'espère que vous continuerez ou ce sera un malheur

Cette tache m'est difficile mais mon but est ultime
Je tiens à vous dire merci pour vos poèmes magnifique
Malgré tout ce qu'on peut dire, tout ce qu'on pourra te dire
C'est pour toi Aislin que ce poème est écrit.

Après toutes ces belles paroles
et n'étant pas un pro de la prose,
je ne puis que te manifester mon soutient.
Certes nous ne nous sommes que peu croisé depuis les MB,
mais j'ai pu suivre ta plume au gré des forums.
Amicalement. Che Pas

Chère Aislin,

Toi qui enchante nos rêves
Laisse les vipères cracher leur venin
Ces êtres vilains et malsain
Pour qui c'est marche ou crève

Seule dans l'ombre de la nuit
Aislin de ta plume je me languis
N'abandonne pas tes rêves
Qui nous émerveillent et nous élèvent

Ces immondes rats
Ont osé s'attaquer a toi
Mais nous ne lâcherons pas
Et nous les feront payer pour toi

Aislin ne t'en vas pas
Ici se dévoile tout ceux qui tiennent a toi
Sache que ici on t'aiment
Même si nous n'avons pas ton don pour les poèmes

Mais j'espère que celui ci
te redonneras l'envie
De nous enchantés jour et nuit
Au rythme de ta folie


Voila j'suis pas très douée mais j'espère qu'aislin n'écoutera ces imbéciles qui ne savent alignés deux lignes...

Aislin je pense fort a toi et t'inquiète ses vipères on les auras

Maladroitement, à ma façon
Pour celle qui transcende le verbe
Je viens déclamer mon admiration
A ta prose superbe


Oulalah, je suis vraiment pas doué mais le coeur y est.

Aligner suites de mots;
les faires danser, en habiles résonances,
harmoniser leurs echos:
tous les liers, en subtile élégance,

Voilà un art délicat,
que peu maîtrisent, que tous admirent,
je m'y essaie, oui voilà,
rimes indécises, pour te soutenir,

Peu importe finalement,
la pauvreté de ces vers,
je salue simplement,
ton humilité, ton savoir faire,


elle cuisine ensemble les mots et les sons,
nous offre une recette habile
l'idiot lui a peur du flacon,
Trop affairé aux sornettes stériles.

Pour conclure je dirais ceci,
à l'idiot nous laissons le fiel
Querelles futiles et puériles vilénies,
nous aimons Aislin, et la rime belle,
je conchie l'idiot, et son peu d'esprit,
attend au tournant celui qui s'en prendra à elle.




Pas sûr d'être dans le sujet mais tout est sincère
Arl, ça c'est d'la poésie !

*songe à écrire un bouquin*


*puis se ravise *

Quand les jugements seront moins sanglants
Quand les préjugés seront enfin ignorés
Quand l'hypocrisie ne sera plus que comédie
Quand la sottise ne sera plus de mise

Bref

Quand les cons seront moins cons

Ce jour là peut-être ils comprendront
Qu’on ne refuse pas son invitation
Car au-delà des mots qui s’enflamment
Aislin restera à jamais une grande Dame

…

Et moi une vulgaire peau de banane…



Euh ouais bon j’ai un peu dérapé sur la chute improvisée… mais qu’on essaye seulement de me marcher dessus et je vous garantis un beau dérapage accompagné d'une belle chute aussi

Incantation,
Malédiction,
De dieu ce don,
De lui cette pulsion.

De joie , ma foi,
De gaité sans loi,
Des verbes quelques fois,
Des rimes, bien sûr, de toi!

Tu nous exprimes,
Bien avec ton rythme,
Ce que chaque jour,
Nous vaut le détour.

Car la vie en elle même,
Se veut d'est fidèle,
Quelque soit sa raison,
Le destin nous sera prompt.

Car dans notre infinie ignorance,
Nous nous voulons innocence,
Mais savons pertinemment,
Que nul n'est innocent.

Et la beauté de chaque envie,
Nous donne ce délire,
De vouloir mieux faire,
Que nous apprit notre maître.

Et de là nous perdons,
Cette infimes illusion,
De vouloir dépasser
Cette limite contre gré.

Bien à toi belle voix,
De par les vents et trépas,
Saches qu'ici ou ailleurs,
Multiples amis tu recueilles!

A mes yeux, tu es plus qu'une rôliste,
De par tes mots, tu es une artiste.
Par amitié, amour, on fait des concessions,
Mais qui sont-ils, ceux qui te freinent dans ta passion ?
Sûrement pas des amis, juste des frustrés,
Qui par leur jalousie, leur aigreur te font payer.
Oublie les ces vils détracteurs,
Car en ces terres, il reste encore de grands coeurs,
Qui en silence, loin de tes yeux, t'admire.
Regarde un peu et de fierté tu peux en rosir,
Ceux qui pour te soutenir, prennent sur eux,
Ecrivent en rime rien que pour tes yeux,
Alors que la poésie n'est pas leur fort,
Rien que pour toi, ma belle, ils font l'effort
L'exemple, certains devraient le prendre,
Mais cela, il est trop dur pour eux de comprendre.
Courage ma belle hirondelle,
Si la poésie pouvait voler,
Tu en serais les ailes,
Continue à nous faire rêver.

Petit hommage à une femme que je ne connais pas, mais que je découvre au travers de ses poèmes

Citation :

Et moi une vulgaire peau de banane…

t'es con

Pardon de rompre le silence de l'émotion.. (je sors...)

Gaffe à la peau de banane...


Bon, ok, je sors aussi!!

De sa plume, elle apprivoise les mots.
Et pour notre plus grand bonheur,
Compose des textes toujours plus beaux,
C'est pourquoi je voudrais lui rendre honneur.

Avec elle, les mots deviennent magie,
Plus qu'un rêve, ils sont une féerie,
Maîtresse des sentiers des rimes,
Qu'elle arpente de sa plume fine,
Il n'y a qu'elle pour y marcher,
Nous autres poètes éphémères,
Aurions vite fait de nous y enliser,
Là voilà arrivant dans une clairière,
S'asseyant sur un rocher,
Et traçant sur son parchemin,
Les entrelacs d'or argenté,
De la poésie de demain.

Mais qui sera le prétentieux,
Qui tentera de rivaliser,
Avec l'enfant des mots des cieux,
Qu'il s'effondre donc d'un coup d'épée ?
Aislin, poétesse d'aujourd'hui, artiste de demain,
Puisse les mots guider ta vie,
Jusqu'a ce qu'arrive notre fin !

Comme des voleurs tes mots se faufilent derrière le rideau de nos rêves ,

Ils explorent , redressent , lissent , rectifient .

Et là au plus profond de nous , ils nous changent , nous font voir un autre monde .

Ne laisse pas les bêtises des autres nous réveiller .

PS - ça rime pas mais ce n'est pas le plus important

Même sottise est faite de mots
Que seule bêtise peut méconnaitre
Afin de se vautrer tel ribaud
Dans les douceurs du mieux être...

30 secondes, là ! Arlequin !
mdr

Aislin, tes vers sont doux, ton verbe est velours et tes adjectifs sont choisis dans ta prose comme dans tes rimes. J'applaudis la chanson de tes mots, je m'incline devant la pureté de l'âme qui les a pleuré, devant la limpidité de son murmure, devant son opiniatreté.

Citation :

30 secondes, là ! Arlequin !

Mais euh ! J'y peux rien, je suis nul en poésie !

(10 secondes pour l'ecrire )

La poésie n'est pas ma besace non plus.
Je crois avoir les mots et la ficelle qui les attache mais pas le papier cadeau...
:-/
Je termine mes poèmes comme mes chansons d'amour : la queue entre les pattes et le poil mouillé... rien qui donne envie de recommencer.
Et pourtant, j'y mets le paquet ! mais je ne suis pas doué pour la métempsycose... mais sans doute l'aurez-vous remarqué ?
;-)

Nul n’est certain que tous ces mots,

Que sur le papier l’on veut coucher,

Qu’ils n’apparaissent pour les sots,

De beauté du cœur ou d’esprit dénuer.

Ceci est ma réponse au post d'Aislin, là, juste au dessus. Je répond à l'idée qu'elle soutient selon laquelle un sot est en mesure de comprendre des vers...

(mais bon... laissez tomber...)

Ces mots sont jolis et chantent pour nombre d'oreilles averties.
Leur profondeur, hélas, meurt quand on considère l'audit.
L'idée, qui émerge d'un mot, choisit pour sa vocalise,
Est une étoile froide quand on l'idéalise.
Relier ses mots à des idées est une idée pour un bourreau !
Mais, un poète sans queue ni tête, qu'a-t-il à faire de ce fardeau ?

Mens, cher ami (peut-être, ou bien peut-être pas)
Dis un truc positif et tu nous surprendras.



(pasque quand même faudrait pas trop pousser Bobonne...)